Social selling : Pourquoi vos efforts social media ne génèrent pas de business (et comment y remédier)

TL;DR – Ce qu’il faut retenir

  • Publier ≠ vendre : le social selling relie visibilité et performance.
  • Une agence social selling structure la stratégie, les contenus, la data et la dimension commerciale.
  • L’efficacité repose sur quatre piliers : stratégie, orchestration multi-plateformes, data, accompagnement.
  • Le ROI n’est pas instantané, mais durable.
  • Le social selling est une culture, pas une campagne.

 

Beaucoup d’entreprises pensent “faire du social selling” parce qu’elles publient sur un réseau social ou partagent quelques contenus. Leur LinkedIn semble actif… mais les prospects n’avancent pas et l’impact reste faible.

Pourquoi ? Parce que la plupart des démarches misent sur la visibilité, pas sur la performance marketing. On suit les tendances, on utilise les réseaux sociaux au feeling, mais sans cadre pour transformer les interactions en opportunités.

Le social selling n’est pas une suite d’actions isolées : c’est une stratégie marketing qui aligne contenus, data et commerciaux, et qui permet de mieux cibler son audience. C’est ce qui fait progresser les prospects dans un parcours B2B, crée de la valeur et nourrit un pipeline réel.

Chez MKKM, on aide les marques à passer d’une simple présence sur les médias sociaux à une démarche structurée, lisible et orientée résultats.

Qu’est-ce qui manque à votre social selling pour devenir un levier efficace via les réseaux sociaux ?

La plupart des marques publient des contenus sur un réseau social ou sur les médias sociaux, mais sans réel cadre.

Les messages changent, les prospects sont mal ciblés, et les commerciaux ne savent pas comment utiliser les signaux via les réseaux sociaux.
Sans stratégie de social selling ni vraie stratégie marketing, la visibilité ne devient pas un levier : elle n’accélère ni la prospection B2B ni la relation de confiance avec l’acheteur.

Le problème n’est pas de partager du contenu, mais d’organiser un système capable d’établir des relations, de créer de la valeur ajoutée et de connecter un contenu pertinent au bon prospect.

Le piège à éviter

Croire qu’une présence régulière suffit à générer de l’impact commercial.
Même les meilleurs contenus ne compensent pas l’absence de structure, d’objectifs clairs ou de connexion avec les sales.

💡 Ce qu’on recommande chez MKKM

Définissez un cadre commun (objectifs, audiences, messages, parcours).
Centralisez vos signaux sociaux pour comprendre ce qui influence réellement votre pipeline.
Pensez votre présence comme un système, pas comme une suite de publications.

Le social selling moderne : un moyen de prospection B2B, pas un calendrier éditorial

Le social selling ne se limite pas à LinkedIn, ni à un calendrier de posts.
C’est un levier transversal qui relie contenus, data, signaux d’engagement et actions commerciales.
Et qui se repose sur quatre piliers indissociables.

1- Une stratégie claire et orientée conversion

Tout commence par vos audiences : leurs attentes, leurs freins, leurs déclencheurs d’intérêt.
Une stratégie de social selling pertinente définit le rôle de chaque message dans le parcours : notoriété, engagement, preuve, conversation, conversion.

Publier sans stratégie revient à communiquer sans intention et sans impact.

2 – Une orchestration multi-plateformes cohérente

Ce n’est pas un réseau qui fait avancer un prospect, mais la manière dont vous combinez plusieurs environnements sociaux.
Vos audiences naviguent entre formats, plateformes et usages : elles s’informent sur l’une, vérifient une preuve sur l’autre, et engagent la conversation ailleurs.

Chaque plateforme possède ses codes et son utilité dans le cycle commercial.
L’efficacité repose sur la capacité à orchestrer ces points de contact plutôt qu’à se disperser.

3 – L’intégration data et commerciale

Un dispositif performant repose sur ce que révèle la data : un social selling index qui progresse, des signaux issus du social listening, et l’usage d’outils de social selling capables de faire remonter ce qui compte vraiment.

Sur les plateformes et les plateformes de médias sociaux, chaque action, chaque vue et chaque clic aide à comprendre si les publications touchent les bonnes personnes et influencent réellement les décideurs.

Connectée au CRM, cette lecture fine transforme une campagne de social selling en pilotage concret : attribution, progression, impact pipeline.

Car le social selling repose sur l’analyse, consiste à saisir les signaux utiles, l’art d’utiliser les données, et à les rendre exploitables commercialement.

4 – L’accompagnement humain

La performance ne vient pas des outils, mais de tous les commerciaux qui les activent au quotidien.

Les meilleurs social sellers sont ceux qui savent développer des relations, créer une première prise de contact authentique et faire du social avec cohérence, quel que soit les secteurs où ils opèrent.

Une démarche efficace ne consiste pas à déléguer, mais à apprendre comment mettre en place les bons réflexes pour que votre présence sur les réseaux sociaux soit incarnée, crédible et régulière.

C’est là que le social selling peut vous aider : donner aux équipes la confiance et la méthode pour activer le discours de manière autonome.

💡 Ce qu’on recommande chez MKKM

Misez sur une architecture : une stratégie solide, une orchestration multi-plateformes, une data lisible, et des équipes alignées.
Ce n’est ni la fréquence, ni la tendance du moment qui génèrent du business : c’est la cohérence du système.

Faire du social selling soi-même : le mythe qui coûte le plus aux équipes.

“On va gérer ça en interne
Une phrase fréquente… jusqu’à ce que la dynamique s’essouffle.

Les limites apparaissent vite dès que la cadence augmente ou que les objectifs business se précisent.

Le social selling devient un sujet stratégique lorsque :

  • la visibilité ne se transforme pas en leads,
  • les équipes marketing et commerciales ne partagent pas les mêmes priorités,
  • la présence sur les réseaux devient une suite d’actions ponctuelles.

C’est là que l’on comprend qu’est-ce que le social selling réellement : une discipline qui demande structure, méthode et continuité.

L’enjeu du social selling n’est pas de publier plus, mais d’orchestrer une démarche capable de servir des réseaux sociaux pour guider un prospect d’un signal à l’autre, jusqu’à l’intérêt pour un produit ou service.

C’est dans ces situations qu’un accompagnement externe fait la différence : un cadre clair, une méthode éprouvée et une continuité que les équipes internes peinent à assurer sans renoncer à d’autres priorités.

💡 Ce qu’on recommande chez MKKM

Commencez petit, mais structurez vite.

Ce ne sont pas les volumes de contenus qui génèrent des résultats, mais la cohérence du système qui relie chaque action au business.

Et c’est cette structure qui conditionne le ROI : sans cadre, la performance reste imprévisible ; avec une méthode, elle devient lisible et durable.

Le ROI : une affaire de parcours prospects, pas de fréquence

Le ROI ne dépend pas d’un pic de vues ou de la viralité : même les publications les plus visibles n’expliquent rien sans lecture du parcours.

Le social selling offre un modèle différent : une progression continue qui touche les bonnes personnes, fait avancer les décideurs et crée un mouvement mesurable sur les plateformes et le social média.

Le chemin reste le même :
Visibilité utile → Engagement qualifié → Conversion mesurable

Ce que les bases du social selling rappellent, c’est que le ROI se construit.

💡 Ce qu’on recommande chez MKKM

Accélérez seulement lorsque le système est en place.
Le ROI n’est pas une question de rythme, mais d’orchestration : un dispositif clair, lisible et exploitable par les équipes.

Comment choisir l’agence social selling capable d’aligner vos enjeux marketing et commerciaux ?

Avant de collaborer, il est essentiel d’identifier une agence qui comprend vraiment les différents réseaux, la manière dont les plateformes fonctionnent et comment les interactions influencent les décideurs dans les secteurs où vous évoluez.

Pour avancer, posez des questions simples :

  • Quelle part de votre activité est réellement dédiée à la performance sociale ?
  • Comment suivez-vous le lien entre contenus et pipeline ?
  • Comment connectez-vous marketing et sales dans un même reporting ?
  • Comment accompagnez-vous les équipes internes ?
  • Pouvez-vous illustrer votre approche avec des cas concrets (sans nécessairement citer des chiffres) ?

Une bonne agence ne promet pas davantage de posts.
Elle promet davantage de cohérence, de structure et de résultats.

Conclusion

Le social selling n’est pas un supplément tactique, mais une manière de structurer sa présence sur les réseaux avec intention.
Il ne s’agit pas de servir des réseaux sociaux au hasard, mais d’orchestrer les différents réseaux avec cohérence, en comprenant comment mettre en place un système qui parle vraiment aux audiences.

Parce que le social selling consiste à utiliser les bons signaux et l’art d’utiliser les plateformes au moment juste, l’impact ne dépend pas du volume, mais de la capacité à toucher les plus pertinents et à transformer l’attention en progression réelle.

Demain, la différence se fera entre ceux qui publient… et ceux qui savent construire une dynamique qui dure.

 

À propos de MKKM

Chez MKKM, nous construisons des stratégies social media orientées résultats business.
Notre expertise en social selling, en influence et en production de contenus s’appuie sur :

  • une veille proactive des évolutions des plateformes (Instagram, LinkedIn, TikTok…),
  • une maîtrise technique des algorithmes,
  • une capacité éprouvée à transformer la visibilité en leads et en ventes concrètes.

Notre mission : faire de votre présence digitale un véritable levier commercial.